Je m’étais promis que je ne parlerai jamais de travail sur ce blog… Bref, une promesse en l’air. En même temps, dés que je parle avec amis, famille et lecteurs de ce blog, la question récurrente que vous me posez c’est: “Au fait tu fais quoi déjà au Bangladesh?”
Au moment de faire mes adieux, j’ai du en effet oublier de mentionner ce petit détail.
Je travaille donc pour une entreprise qui s’appelle Grameen Veolia Water, une joint venture entre Veolia Eau et Grameen Healthcare Service dont le but est d’aider les populations vivant dans des zones où les sources d’eau ne sont pas potables et très souvent contaminées à l’arsenic.
Nous avons pour l’instant une usine qui nous permet de fournir de l’eau potable à 40,000 Bangladeshis.
Là ou j’interviens, c’est ce que ce projet n’est pas rentable (comme tous les projets de ce genre d’ailleurs). Pour rembourser la mise initiale, faire des profits et réinvestir dans le projet pour l’agrandir, j’ai lancé un business de vente d’eau en bonbonnes à Dhaka dont le but est de faire des profits pour rembourser nos mise initiale et et réinvestir et développer nos projets ruraux. Un peu un système à la Robin des bois: vendre chers au Riches pour aider les Pauvres.
Outre avoir l’opportunité de lancer un business à 24 ans, ça me donne l’opportunité de bosser avec 15 Bangladeshis pendant 1 an avec toutes les surprises et déconvenues que cela apporte. Quelques images sympas.
I promised myself that I would never speak about work on this blog… Fail! For my defence, whenever I speak to some friends, family and also the readers from this blog, the recurrent question you ask me is: “By the way, what is it you are doing again in Bangladesh?”
When I left France, I must have forgotten to mention this little detail.
So, I work for a company named Grameen Veolia Water, a joint venture between Veolia France and Grameen Healthcare Service which aims at helping local populations living in areas where all the water sources are not drinkable and often contaminated with arsenic.
So far, we have one plant which allows us to provide drinkable water to 40,000 Bangladeshis.
Like most similar projects, our project is not economically-sustainable. Where I come in is that I am launching a water jar business in Dhaka city which aims at making profits in order to reinvest them in our local projects to expand and provide water to a greater number of people. Kind of a Robin Hood system: sell at a higher price to the Riches to help the Poorers.
In addition to having the opportunity to launch a business at 24 y.o, it gives the opportunity to work with 15 Bangladeshis during one year with all the surprises and shocks it brings about. A few cool pictures:
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